En 2025, rejoignez La Vague Mandréenne

En ce début d’année 2025, les élue et élus de la Vague Mandréenne vous présentent leurs vœux les plus chaleureux et souhaitent à toutes et tous beaucoup de joies et de douceurs.

Les nouvelles quotidiennes ne prêtent guère à l’optimisme mais nos traditions que nous faisons imperceptiblement évoluer sont sources de réconfort familial, amical et professionnel. C’est surement ce qui nous rend plus résilients. C’est aussi, paradoxalement, dans ces moments d’adversité que nous révélons alors le meilleur de nous-mêmes et repoussons nos limites.

Ainsi, est-ce l’adversité débridée et faussement pugnace rencontrée par les élus de la Vague Mandréenne qui les encourage dans leur engagement pour un monde meilleur ? Eux dont le maire annonçait, dès les lendemains de l’élection municipale de 2020, leur disparition du paysage. Faisant preuve de résilience, ils sont toujours là mais, selon le maire, seraient à court d’arguments.

À court d’arguments, vraiment ? Ne serait-ce pas plutôt l’inverse ? En effet, ce ne sont pas les quelques lignes « généreusement » concédées mensuellement dans Le Mandréen à leur libre expression qui nous permettent de développer un argumentaire détaillé. Mais depuis 5 ans, chaque mois nous avons développé un point particulier.

Mais que le maire se rassure, bientôt viendra le temps d’exposer les sujets qui le dérangent. Il faudra bien qu’il réinvente sa rhétorique trentenaire, usée jusqu’à la trame, toujours à la limite de l’injure ou de la diffamation : « c’est pas moi ; ils sont incompétents ; ils ne sont pas de Saint-Mandrier ; ils mentent ; ils font de la politique politicienne, ils s’opposent à tout et bloquent les dossiers (lesquels ?) » sans oublier, au gré des vents politiques pour mieux essayer de diaboliser son opposition : « ce sont des écolos punitifs; de dangereux activistes qui cassent des portails ; des extrémistes si ce n’est des anarchistes…. ». Ben voyons, ce n’est pas parce que nous sommes au bord de la Méditerranée qu’il faut sombrer dans l’outrance quotidienne.

En attendant, il est certain que les Mandréennes et Mandréens, récemment installés et qui auraient l’envie de s’engager dans la vie communale, apprécieront à sa juste valeur l’affirmation erronée prononcée en novembre 2024, du maire à l’endroit de Jean-Ronan Le Pen : « il ne pouvait comprendre le sens de ces mots (de Marégau à Cépet) car il est arrivé dans la commune juste avant les élections, il ne la connaît pas».

Nous conclurons en réitérant nos souhaits les meilleurs pour 2025 à toutes les Mandréennes et Mandréens et à ceux qui leurs sont chers.