Comme l’avait dit Mathieu Bastareaud : « A’men’donné il faut arrêter de jouer au pied », surtout quand on n’a pas Jiuta Wainiqolo dans son équipe… Nous avions déjà souligné la parade récurrente « c’est pas nous c’est machin… » mais autant le dire tout de suite, l’habitude de la (mauvaise) passe au pied est devenue caricaturale.
Que l’éclairage soit défaillant les jours de pluie quais Aristide Briand et Jules Guesde ! C’est bien évidemment la faute de la pluie et de TPM. Que les installations de volley de la pinède Sainte-Asile soient passablement dégradées ! Un adjoint au maire invite à s’adresser au conservatoire du littoral, qui est propriétaire du terrain, et aux conseillers départementaux que sont Nathalie Bicais et Joseph Mulé puisque c’est le département du Var qui avait financé l’installation. Mais, n’a-t-on pas à Saint-Mandrier une conseillère municipale qui est la remplaçante de madame Bicais et qui la représente régulièrement lors des cérémonies patriotiques ?
Que le panneau lumineux d’informations municipales du pin Rolland soit inopérant depuis des mois adressez-vous à TPM renvoie une autre adjointe du maire. Pourtant, une fois encore, le maire n’est-il pas vice-président de TPM ? Dans la même veine, « nous n’avons pas pu nettoyer la plage de Saint-Asileen, juin 2024, parce que le président d’une association a porté plainte contre le ré-ensablement de la plage en août 2023 »… D’abord, entre le nettoyage et le ré-ensablement il y a déjà une différence notable, et entre août 2023 et juin 2024 il y avait quand même quelques jours disponibles pour faire quelque chose pour éclaircir la question des procédures. À moins que ce ne soit encore la faute des juges et des fonctionnaires de l’Etat. Alors, quand cinq mois après l’inauguration des habitations du parc de la presqu’île, on en est toujours à se féliciter d’avoir fait réaliser en octobre les travaux d’aménagement pour la sécurisation des piétons, c’est bien. Mais c’était avant qu’il fallait y penser et aux frais de l’aménageur et non du contribuable. D’ailleurs, début novembre, l’état des « finitions » laisserait croire que c’est vraiment du rattrapage et non une opération en bonne et due forme.
Ainsi, à Saint-Mandrier, on ne peut pas paraphraser le maréchal Joffre… « ici, si on ne sait jamais qui a perdu la bataille mais on sait toujours qui l’a gagnée… ce n’est pas machin , c’est moi…. »
Chères Mandréennes et chers Mandréens, cette année s’achève dans un contexte inhabituel, une autre va commencer. Aussi pour 2025, nous vous souhaitons une bonne santé et plein de moments de bonheur avec ceux qui vous sont chers !